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Sara Cohen (SKEMA 2023) : Entrepreneuriat et bien-être au travail, le pari gagnant de Rakk

Oser sortir du cadre, suivre son intuition et transformer le bien-être en moteur de performance : c’est le pari audacieux de Sara Cohen. Diplômée de SKEMA Business School, elle a troqué le confort du salariat pour l’aventure entrepreneuriale. Aujourd’hui à la tête d’une start-up en pleine expansion incubée par SKEMA Entrepreneurs, elle mise sur l’innovation et l’humain pour révolutionner la qualité de vie au travail. Rencontre.
Pouvez-vous nous parler de votre parcours et de ce qui vous a menée à l’entrepreneuriat ?
J’ai effectué un Mastère Spécialisé Manager Marketing Digital et Commerce Électronique chez SKEMA Business School. J’ai toujours été attirée par l’entrepreneuriat et l’idée d’avoir un impact concret sur mon environnement de travail, c’est pourquoi j’ai rejoint RAKK dès l’obtention de mon diplôme. Aujourd’hui, je fais partie d’une start-up en forte croissance, où nous prônons une approche humaine et équilibrée.
Qu’est-ce qui vous a poussée à sortir du schéma classique et à prendre ce risque ?
L’envie de créer un environnement de travail où la performance et le bien-être ne sont pas opposés, mais complémentaires. L’entrepreneuriat m’a permis de sortir de ma zone de confort, de bâtir un projet aligné avec mes valeurs et de m’affranchir des contraintes classiques du salariat. J’ai compris qu’il fallait oser, sans trop se soucier du regard des autres, et surtout suivre son intuition.
Quelle est la mission de votre start-up et quelles sont ses ambitions ?
Nous proposons des solutions clés en main pour équiper des salles de sport sur mesure, que ce soit pour des entreprises, des particuliers ou des collectivités. Notre ambition est de démocratiser l’accès au bien-être au travail, en intégrant le sport comme un levier de performance et d’engagement. Aujourd’hui, nous sommes présents sur toute la France ainsi qu’en Belgique, et nous avons pour objectif de poursuivre notre développement en conservant notre approche à taille humaine.
Selon vous, quels sont les principaux défis à relever pour les jeunes entrepreneurs ?
Le premier défi est d’oser se lancer. Beaucoup hésitent par peur de l’échec, mais le vrai risque est de ne pas essayer. Il faut aussi apprendre à s’entourer, savoir écouter les bonnes personnes et s’adapter en permanence. L’entrepreneuriat, c’est avant tout une capacité à trouver des solutions, à se réinventer et à rester en mouvement.
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes diplômés qui hésitent à emprunter cette voie ?
Ne cherchez pas le parcours parfait. Il n’y a pas de chemin unique vers la réussite, et le plus important est d’être en phase avec ses choix. Le digital et l’entrepreneuriat sont des secteurs en perpétuelle évolution, il faut être curieux, tester, apprendre de ses erreurs et, surtout, ne jamais cesser d’avancer.
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