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Maxim Laurent, étudiant ESDHEM : « À Raleigh, j’ai trouvé un équilibre entre excellence et ouverture culturelle »

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ESDHEM

Publié le 15 mai 2025

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Étudiant en L2 économie-gestion dans le cadre de l’immersion track du parcours ESDHEM, Maxim Laurent, 20 ans, a passé l’année universitaire 2024-2025 sur le campus de Raleigh (États-Unis) de SKEMA Business School, avant de rejoindre le campus Grand Paris pour une préparation intensive aux concours des Grandes Écoles dès l'an prochain. Objectif : intégrer une grande école de management.

Vous avez passé votre L2 à Raleigh dans le cadre de l’immersion track. Comment avez-vous vécu cette année ?

C’est une année vraiment à part. Le fait d’étudier aux États-Unis, comme le propose le programme, dans un environnement international tout en restant dans le cadre SKEMA, c’est une chance. J’ai trouvé à Raleigh un équilibre entre exigence académique, ouverture culturelle et vie collective. J’ai eu la possibilité, par ailleurs, de m’imprégner de la culture américaine en me rendant dans plusieurs grandes villes et régions du pays. C’est une vraie année charnière, à la fois sur le plan humain et intellectuel.


Qu’est-ce qui vous a le plus surpris dans le système académique américain ?

Le rapport aux professeurs. Il est plus direct, plus souple. C’est une relation d’égal à égal qui change beaucoup de ce que l’on connaît en France. Ce n’est pas une opposition de modèles, c’est une autre manière d’enseigner. Et les deux approches se complètent très bien. On gagne en initiative, en autonomie, en capacité à s’exprimer.

 

Les infrastructures sont impressionnantes : bibliothèques, centres de recherche, salles de sport modernes, vie associative intense...


En tant qu’étudiant en économie-gestion, en quoi cette mobilité vous a-t-elle été utile ?

J’ai beaucoup progressé en anglais, ce qui est essentiel pour la suite de mon parcours. Mais surtout, j’ai gagné en aisance à l’oral, dans les présentations comme dans les interactions en cours. Ce sont des compétences que les concours valorisent fortement. Avec une trentaine d’heures de cours par semaine, le rythme est intense, mais très formateur.


Comment avez-vous travaillé votre anglais au quotidien ?

Il faut faire l’effort de ne pas rester entre Français. C’est un choix que j’ai fait dès le début. J’ai emménagé avec des colocataires américains et tissé des liens avec des étudiants venus de différents horizons : Brésil, États-Unis, Asie… La promotion est très internationale. Cette immersion accélère naturellement les progrès.


Comment décririez-vous la vie sur le campus de NC State ?

C’est l’un des grands atouts de l’expérience proposée par SKEMA aux Etats-Unis. Les infrastructures sont impressionnantes : bibliothèques, centres de recherche, salles de sport modernes, vie associative intense… J’ai rejoint le NC State Finance Club, qui m’a permis de me projeter concrètement dans la banque d’investissement, et le Swim Club, pour garder un équilibre personnel. Les clubs organisent régulièrement des événements et des compétitions. C’est une autre façon d’apprendre et de s’intégrer.


Vous mettez souvent l’accent sur l’ouverture. Pourquoi cela vous paraît-il si important ?

Parce que c’est ce qui donne du sens à l’ensemble du parcours. Ce track vous pousse à sortir de vos repères, à penser différemment. Ce n’est pas seulement un plus sur un CV, c’est une expérience de transformation. Je sais que cette année me servira pour les concours, mais aussi bien au-delà. D’ailleurs, je pars bientôt en stage de trois mois dans une startup au Vietnam.


Quel conseil donneriez-vous aux étudiants qui vivront cette expérience après vous ?

Ne restez pas entre Français. Ce serait passer à côté de ce que cette immersion peut vous apporter. L’international, la diversité culturelle, les rencontres : c’est cela qui fait toute la valeur de l’année passée à Raleigh.
 

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